Bienvenue sur cet humble blog ! Après plusieurs années de web-design dans une grande entreprise, et avoir fait plein de sites très compliqués, dans des technologies compliquées, j’ai eu envie de de me simplifier la vie, et de me concentrer sur mes coups de gueule. Ce blog est donc l’émanation de ma fainéantise.
Par ailleurs, les injustices m’ont toujours révolté. J’ai dépassé le stade du triangle de Karpman et je n’ai plus envie de me poser en tant que Zorro, mais parfois, certains agissement sont difficiles à supporter.
Et particulièrement ceux que certains sont en train de faire subir à notre pays…
Vous y trouverez donc quelques pensées, de petits articles sur mon iPhone, et pourquoi pas, quelques articles liés à mon métier…
Bonne lecture !
… et comme on dit: « the tweet expressed here are mine alone and do not reflect the views of ST.«
Aujourd’hui je suis tombé sur une vidéo de Sylar qui a évoyé ma curiosité: avec l’aide de ChatGPT pour trouver de nouvelles sources et les structurer, voici le résultat de mes recherches<!doctype html>
Article de synthèse (histoire, ésotérisme, archéologie) – Massif de Strandja, Bulgarie.
Entrée supposée de la « grotte de Bastet » à Goliamo Gradisté, dans le massif de Strandja (Bulgarie). Une petite cavité abritant un bassin d’eau stagnante marque l’accès aux galeries souterraines recherchées.
Introduction
En 1981, la Bulgarie communiste fut le théâtre d’une mystérieuse expédition menée dans le plus grand secret, connue sous le nom de l’affaire du « Tombeau de Bastet ». Cette opération mêlant ésotérisme, politique et archéologie est devenue l’un des plus grands mythes modernes du pays. Plus de quarante ans plus tard, elle continue d’alimenter débats et spéculations, tant les zones d’ombre demeurent nombreuses autour de ce dossier mêlant faits réels et légendes.
Contexte historique et politique
Au début des années 1980, la Bulgarie est un État socialiste officiellement athée. Pourtant, au sein des élites, certains s’intéressent aux philosophies mystiques et aux traditions spirituelles anciennes. Une figure centrale émerge alors : Lioudmila Jivkova, fille du dirigeant Todor Jivkov et présidente du Comité pour la culture (rang de ministre de la Culture). Contrairement à l’orthodoxie marxiste, Lioudmila affiche une passion pour l’ésotérisme oriental et la spiritualité, ce qui fait d’elle un personnage controversé au sein du Bloc de l’Est. Elle fréquentait notamment la célèbre voyante bulgare Baba Vanga, dont les conseils et prophéties attiraient même certains hauts dirigeants malgré l’athéisme d’État. C’est dans ce contexte paradoxal – un régime matérialiste tolérant en coulisses l’occultisme de ses élites – que va naître l’affaire du tombeau de Bastet.
La prophétie de Baba Vanga
D’après la légende, Baba Vanga aurait délivré une prophétie énigmatique au sujet d’un ancien tombeau caché dans les montagnes de Strandja, au sud-est de la Bulgarie. Elle évoquait l’existence d’un sarcophage de granit noir venu d’Égypte, renfermant des « connaissances ancestrales » écrites dans une langue inconnue. Sur ce sarcophage serait inscrite l’histoire de l’humanité 2000 ans avant notre ère et 2000 ans après, un message destiné à l’humanité qui ne serait découvert que lorsque celle-ci serait prête à le comprendre. Baba Vanga décrivit avec précision l’emplacement du tombeau : « une petite montagne près de la frontière turque, un sentier menant à une clairière sauvage, en contrebas se dresse un rocher monumental d’environ 4 m de large sur 5 m de haut ». Elle précisa qu’il faudrait s’y rendre un 5 mai, au lever du Soleil puis au lever de la Lune, pour observer un phénomène particulier. Ces indications, délivrées par Vanga alors même qu’elle n’avait jamais visité la région (et qu’elle était aveugle), intriguent fortement son entourage.
Selon le récit, c’est un mystérieux « chercheur de trésor » muni d’une vieille carte qui aurait mis Baba Vanga sur la piste. En janvier 1981, cet homme aurait montré à Vanga un parchemin couvert de symboles étranges, en quête d’un trésor caché. Vanga aurait jugé la carte inauthentique, mais profité de l’occasion pour en faire secrètement copier le contenu par sa nièce Krassimira Stoyanova. C’est après avoir étudié ces symboles que la voyante aurait fait le lien avec « des gens venus d’Égypte il y a très longtemps pour enterrer un sarcophage contenant un savoir interdit, puis mis à mort pour que le secret reste scellé à jamais ». Elle exhorta enfin à se rendre sur le lieu indiqué à la date précise du 5 mai afin d’y constater un signe cosmique.
L’expédition secrète de Goliamo Gradisté
Fascinée par cette histoire, Lioudmila Jivkova autorise en mai 1981 une expédition secrète sur le site décrit par Vanga. Le groupe rassemblé compte une dizaine de personnes triées sur le volet : des archéologues (dont l’un des plus réputés du pays), des géologues, des militaires chargés de la sécurité, ainsi que des proches de Vanga tels que sa nièce Krassimira. Krastyo Mutafchiev, un collaborateur de Jivkova, coordonne l’opération. Officiellement, il n’est pas question de fouilles (la mission est classée secret d’État), et le périmètre choisi se situe dans la zone frontalière sensible de Strandja, à seulement 3 km de la Turquie – un secteur alors hautement surveillé militairement, où toute incursion non autorisée est impensable en pleine Guerre froide. La couverture de l’expédition est facilitée par la proximité du site archéologique légal de Mishkova Niva (une tombe thrace antique fouillée à quelques centaines de mètres). Ainsi, à l’insu même des archéologues opérant à Mishkova Niva, l’équipe de Jivkova atteint le sommet de Goliamo Gradisté et entame des recherches clandestines sur place, sous la surveillance de la Sécurité d’État bulgare.
Le 5 mai 1981, conformément aux indications de Vanga, les explorateurs observent tôt le matin un phénomène étrange : les premiers rayons du Soleil, filtrant à travers les nuages, dessinent sur le grand rocher un triangle lumineux en suivant le tracé de trois cercles gravés dans la pierre. Au coucher du Soleil, le phénomène se répète avec les rayons de la Lune : une lueur parcourt la roche et forme de nouveau un triangle luminescent. Soudain, alors que le groupe s’apprête à quitter les lieux, deux grandes silhouettes phosphorescentes apparaissent au cœur du roc, comme des hologrammes projetés de l’intérieur de la pierre. Les témoins décrivent l’une comme un homme debout tenant une sphère, l’autre comme un homme assis sur un trône, portant un couvre-chef conique évoquant un pharaon. Stupéfaits et terrifiés, ils assistent pendant une vingtaine de minutes à cette apparition, puis tout s’évanouit dans l’obscurité de la nuit. Le groupe redescend alors en silence jusqu’au village de Malko Tarnovo, sous le choc de ce qu’il vient de vivre.
Informée de ces phénomènes extraordinaires, Lioudmila Jivkova décide de passer à l’étape suivante : creuser pour percer le secret du rocher. Malgré les mises en garde de Baba Vanga – « ce n’est pas encore le moment de creuser » – une opération de fouille est lancée dans les jours qui suivent. Les travaux d’excavation durent plusieurs semaines, en progressant sous le rocher de Goliamo Gradisté. L’équipe clandestine aurait mis au jour une vaste cavité artificielle sous la roche, interprétée comme l’entrée du fameux tombeau. Des galeries et corridors souterrains anciens sont également suspectés, le site étant riche en vestiges thraces et peut-être d’antiques mines métalliques. Quelques membres de l’expédition prétendront plus tard avoir découvert des objets mystérieux au fond de ces galeries – des artefacts dont la nature demeure obscure – mais aucune preuve tangible n’a jamais été rendue publique à ce jour. Seuls demeurent les témoignages relatant les phénomènes lumineux inexpliqués (qualifiés « d’holographiques ») observés le 5 mai, sans qu’aucune explication scientifique n’ait pu être apportée.
La mort de Jivkova et la « malédiction »
L’expédition bascule dans la tragédie quelques semaines plus tard. Le 21 juillet 1981, Lioudmila Jivkova meurt subitement à l’âge de 38 ans, officiellement des suites d’une brève maladie (une tumeur cérébrale). Sa disparition brutale – survenue en pleine possession de ses pouvoirs et dans des circonstances jugées étranges – alimente immédiatement les rumeurs. D’aucuns suspectent un assassinat politique déguisé. Dans l’opinion publique, toutefois, un autre récit va émerger : celui d’une malédiction liée au tombeau de Bastet. En effet, dans les mois qui suivent, plusieurs membres ou proches de l’équipe de fouilles connaissent des destins funestes : certains tombent gravement malades, d’autres trouvent la mort dans des accidents, et même Krastyo Mutafchiev se voit emprisonné quelques années plus tard (pour des motifs non liés officiellement à l’expédition). Ces coïncidences troublantes confortent la croyance populaire qu’une force occulte protège le tombeau et s’acharne sur quiconque tente de le profaner.
Qu’elle soit rationnelle ou non, la mort de Lioudmila Jivkova entraîne en tout cas l’arrêt immédiat des fouilles. L’opération est abandonnée à l’été 1981, tous travaux cessent et le site de Goliamo Gradisté est placé sous scellés par les autorités. D’après certains témoins, l’entrée de la cavité aurait même été bétonnée ou comblée d’explosifs pour la dissimuler à jamais. L’ensemble du dossier est classé secret d’État par le régime communiste de l’époque. Dès lors, aucune information officielle ne filtre pendant des années, ce silence ne faisant qu’ajouter au mystère.
Témoignages contradictoires
Après la chute du communisme en 1989, l’affaire refait surface au grand jour et deux versions principales – souvent contradictoires – s’affrontent dans le récit de l’« affaire Bastet ».
Krastyo Mutafchiev, l’historien qui coordonna l’expédition de 1981, est l’un des premiers à publier son témoignage. Dès le début des années 1990, il avance la thèse selon laquelle le site de Goliamo Gradisté abriterait la tombe de la déesse égyptienne Bastet elle-même. Selon Mutafchiev, le sarcophage contiendrait rien de moins qu’un message d’origine extraterrestre, laissé là par une civilisation inconnue il y a des millénaires. Il évoque la présence possible d’un savoir « interstellaire » enfoui sous la roche, qui pourrait révolutionner notre compréhension de l’histoire du monde. Au fil de trois livres qu’il consacre à l’affaire, Mutafchiev dresse un récit mêlant cultures thraces et égyptiennes, mythologie et hypothèses proto-historiques pour expliquer la présence de Bastet en Bulgarie. Ses théories – qui incluent l’intervention d’entités venues d’une autre planète – contribuent à forger la légende moderne du tombeau mystique de Strandja.
Face à cette interprétation ésotérique, Krasimira Stoyanova (la nièce de Baba Vanga, témoin direct des événements) présente un tout autre éclairage. Dans la biographie qu’elle consacre à sa tante en 1990, puis au cours d’interviews ultérieures, Krasimira insiste sur l’aspect spirituel de l’affaire et relativise les extrapolations de Mutafchiev. Elle confirme la réalité des phénomènes étranges observés en mai 1981 – le rayonnement lumineux, les silhouettes dans la roche – qu’elle considère comme une expérience mystique marquante. En revanche, elle réfute catégoriquement l’existence d’un tombeau de Bastet au sens littéral. Selon Stoyanova, la théorie de la déesse égyptienne enterrée en Bulgarie serait une construction romanesque de Mutafchiev, sans fondement concret. Elle affirme notamment que Vanga n’a jamais parlé de « déesse Bastet » ni d’extraterrestres, et que ces éléments relèvent du mythe élaboré a posteriori. Son témoignage met plutôt l’accent sur le message spirituel de Vanga et sur l’avertissement qu’elle avait donné de ne pas creuser, estimant que « l’humanité n’était pas prête ». Krasimira Stoyanova dépeint une ambiance étrange sur le site – une « atmosphère hors du commun » – mais invite à ne pas fantasmer outre mesure : pour elle, le « tombeau de Bastet » relève davantage de la légende que de la réalité matérielle.
Les recherches modernes
Bien que le régime communiste ait enterré l’affaire, l’engouement populaire pour le mystère de Bastet n’a pas faibli en Bulgarie. Au début des années 2010, des historiens et archéologues locaux ont relancé l’étude du site de Goliamo Gradisté, désormais libre d’accès au sein du parc naturel de Strandja. En 2018, une équipe menée par l’archéologue Daniel Pantov, directeur du musée de Primorsko, effectue des analyses géophysiques (radar à pénétration de sol) sur la zone supposée du tombeau. Les résultats évoquent des anomalies souterraines : vides, structures linéaires, et un objet symétrique d’environ 50 cm à ~18–20 m de profondeur. Faute d’autorisations de fouilles, aucune conclusion définitive ne peut être tirée à ce stade. Aujourd’hui, le mont Goliamo Gradisté est accessible aux randonneurs et attire passionnés d’énigmes et curieux d’histoire ; sur place, un petit bassin d’eau croupie masque encore l’entrée de la cavité sous le rocher, et le mystère demeure entier.
Conclusion
Le « Tombeau de Bastet » est ainsi passé du statut d’opération secrète oubliée à celui de mythe national en Bulgarie, souvent comparé à l’affaire de Tsarichina. Ce dossier singulier symbolise la rencontre entre Histoire et croyances populaires, sur fond de secrets d’État. D’un côté, des faits établis : une expédition a bien eu lieu en 1981 sous l’égide de Lioudmila Jivkova, et celle-ci est décédée peu après dans des conditions troublantes. De l’autre, des spéculations invérifiables : a-t-on découvert une relique extraterrestre ou réveillé une malédiction antique sous la montagne de Strandja ? Entre ces deux extrêmes, la vérité se dérobe toujours. Le manque de preuves matérielles n’a pas empêché la légende de prospérer – alimentée par les silences du régime communiste, puis par des récits romanesques. À ce jour, le tombeau interdit de Bastet reste un mystère non résolu.
Nichée sur une colline dominant la vallée d’Aigues, Cucuron est bien plus qu’un joli village du Luberon : c’est un lieu où l’histoire se lit dans chaque pierre. Occupé dès le Néolithique au site du Castelas, il se déploie à travers les âges — un oppidum gaulois, des villae gallo-romaines avec nécropoles et mausolée, jusqu’à son essor médiéval en tant que Castrum Cucurone .
Le mausolée des Pourrières, mis au jour à l’emplacement d’une villa gallo‑romaine, est un témoignage saisissant du pouvoir patricien autour du Ier ap. J.-C. ; ses vestiges sont visibles au Musée Marc‑Deydier. Continuer la lecture de « Cucuron : Voyage au Coeur de l’Histoire »
Depuis trois décennies, la politique économique française s’articule autour d’un même credo : favoriser la politique de l’offre à coups de subventions, d’exonérations fiscales et sociales, sans conditions strictes ni contrôle réel. En 2023, ces aides publiques aux entreprises atteignent 211 milliards d’euros (source).
Pendant ce temps, le gouvernement de François Bayrou annonce des mesures visant à “responsabiliser” les malades, notamment via un doublement de la franchise médicale. Un contraste saisissant qui révèle un véritable Grand Détournement.
L’invention des religions a souvent été interprétée comme une manière de structurer et de réguler les sociétés humaines, mais cette perspective se double parfois d’une critique plus profonde. Certains avancent que la religion aurait également été inventée pour instaurer et maintenir des hiérarchies sociales, renforçant les privilèges de quelques-uns tout en incitant les autres à accepter un rôle subalterne. Alors que cette vision est sujette à débat, elle éclaire des aspects intéressants de la relation entre foi, pouvoir, et justice sociale.
Les religions comme outils de contrôle social
Les religions, dans leur diversité, ont fréquemment intégré des valeurs et des règles morales destinées à guider les comportements individuels et collectifs. Ces codes moraux incluent souvent des injonctions à l’obéissance, la patience, la modestie, et la résignation face aux difficultés de la vie. Le message central de nombreuses traditions religieuses insiste sur l’acceptation d’une vie terrestre parfois dure, en promettant une récompense post-mortem ou une bénédiction spirituelle. La souffrance ici-bas est ainsi souvent décrite comme une épreuve ou un moyen de purification, et la patience face aux injustices terrestres, valorisée. Continuer la lecture de « Les religions, faites pour dominer le monde ? »
Depuis IOs 15, le comportement réseau des iPhone est devenu étrange.
Comme on le voit sur les réseaux sociaux, notamment sur Reddit , si l’on a une bonne connection 5G et un wifi un peu encombré (avec trop d’appareils connectés dessus), l’iPhone bascule irrémédiablement sur la 5G (ou la 4G).
Les réglages théoriques (Assistance wi-fi…) sont aussi opérants qu’un bouton pour dléclancher un feu rouge.
Il semblerait qu’il y ait une raison à cela: éviter à tout prix une interruption de réseaux aux utilisateurs, ce qui ferait perdre beaucoup d’argent au comptable argenté…
Alors que sur Android un réglage existe pour forcer la connexion sur Wifi, sur IOs, NIB… ainsi en a décidé notre comptable.
Pour ma part, j’ai une connexion 5G illimitée, en revanche, sur mon iPhone professionnel, je dilapide mon plan data en quelques jours.
D’où un principe de base: il faut laisser la direction des entreprises à des visionnaires, les comptable doivent se limiter à compter… le compteur d’une voiture est indispensable, mais quand il se prend pour le volant (exemple, Tesla, aussi géré par un milliardaire fou), on va droit dans le mur…
Apple est définitivement devenu le Microsoft des années Bill Gates 😥
Edit: 5 Juin 2025
il vaut mieux parfois admettre ses torts: à la décharge d’Apple, le problème venait du paramétrage de ma Freebox:
Par défaut, les Freebox Delta (je ne sais pas pour les autres) ont une plage d’adresses IP limitée, ne rendant disponible que 31 IP pour l’ensemble de ses appareils connectés.
Bonjour à tous ! Aujourd’hui, je vais vous parler d’une tradition culinaire typique de la Provence : les oursinades de Sausset-les-Pins. Vous ne savez pas ce que c’est ? Pas de problème, je vais tout vous expliquer !
Les oursinades sont des fêtes gastronomiques qui ont lieu chaque année entre janvier et mars sur le littoral méditerranéen. Elles sont consacrées à la dégustation des oursins, ces petits animaux marins épineux qui renferment un mets délicat et iodé. Les oursins se mangent crus, avec du pain, du beurre, du citron et du vin blanc. C’est un régal pour les amateurs de fruits de mer !
Les oursinades de Sausset-les-Pins sont parmi les plus réputées de la région. Elles se déroulent tous les dimanches matins sur le port de la ville, dans une ambiance conviviale et festive. On peut y acheter des oursins frais auprès des pêcheurs locaux, ou bien les déguster sur place dans des stands tenus par des associations ou des restaurateurs. Il y a aussi des animations musicales, des expositions et des concours.
Si vous voulez découvrir cette spécialité provençale, n’hésitez pas à venir aux oursinades de Sausset-les-Pins ! Vous passerez un moment agréable et gourmand, tout en soutenant l’économie locale et la préservation de l’environnement marin. Les oursinades sont une tradition ancestrale qui mérite d’être connue et respectée. Alors, à bientôt sur le port !
Santorin, aussi appelée Théra ou Thira, est une île volcanique située dans la mer Égée. Son histoire est marquée par des éruptions cataclysmiques qui ont façonné son paysage et sa culture. Selon la mythologie, l’île était autrefois nommée Kallisté, ce qui signifie “la plus belle”, et aurait été liée au mythe de l’Atlantide perdue. Vers 1600 av. J.-C., une éruption majeure a détruit une partie de l’île et a créé une caldeira, une dépression circulaire entourée de falaises. Cette éruption aurait également eu des conséquences sur la civilisation minoenne, qui prospérait sur l’île voisine de Crète. Santorin a ensuite été colonisée par les Doriens, qui lui ont donné le nom de Théra, en l’honneur de leur chef Théras. L’île a connu plusieurs périodes de prospérité et de déclin, sous l’influence de diverses puissances comme Athènes, Rome, Byzance, Venise ou l’Empire ottoman. Au XIIe siècle, l’île a pris le nom de Santorin, dérivé de celui de sainte Irène, la patronne des marins. Aujourd’hui, Santorin est une destination touristique prisée, qui attire les visiteurs par ses villages blancs à coupoles bleues, ses panoramas sur la caldeira et ses sites archéologiques, comme Akrotiri ou l’ancienne Théra.
On démarre la visite par la pyramide du parc, située à une centaine de mètres du château.
La pyramide
La pyramide du parc de Valbelle à Tourves est une construction insolite et mystérieuse qui date du XVIIIe siècle. Elle se trouve dans le domaine du château de Valbelle, qui appartenait à la famille de Valbelle, une des plus riches et influentes de Provence. Le château, de style néoclassique, était orné de colonnes grecques et de statues antiques. Il fut détruit pendant la Révolution française et il n’en reste aujourd’hui que des ruines.
La pyramide, quant à elle, a résisté au temps et aux intempéries. Elle mesure environ 10 mètres de haut et 8 mètres de côté. Elle est ouverte et accessible à l’intérieur, où se trouve une alcôve qui abritait autrefois une statue égyptienne. La pyramide est entourée d’une clôture pour la protéger du vandalisme.
On ne sait pas exactement pourquoi le comte de Valbelle, qui était initié à la franc-maçonnerie au rite égyptien, a fait construire cette pyramide dans son parc. Certains y voient un hommage à l’Égypte ancienne, qui fascinait les élites européennes à l’époque. D’autres y voient un symbole maçonnique, qui représenterait la quête de la sagesse et de la lumière. D’autres encore y voient un simple caprice d’un noble excentrique, qui voulait impressionner ses invités avec une œuvre originale.
Quoi qu’il en soit, la pyramide du parc de Valbelle à Tourves est un témoignage unique du patrimoine historique et culturel de la région. Elle attire chaque année de nombreux visiteurs curieux et admiratifs. Si vous voulez en savoir plus sur cette pyramide, vous pouvez consulter les sites web suivants : Tripadvisor, YouTube ou Tripadvisor (en français). Vous y trouverez des photos, des vidéos et des avis de voyageurs qui ont visité ce lieu.